Brève scène
« Depuis plus de dix ans, les Productions du Diable Vert organisent des soirées qui permettent d’apprécier l’art des conteurs et conteuses d’ici et d’ailleurs, établis ou de la relève, adeptes de tradition ou de modernité. »
Christian St Pierre, Voir Montréal, Janvier 2011
Comme une odeur de Caribou
« À l’entrée, des bancs d’églises nous permettent de profiter du spectacle. Une fille du roi vient prendre la commande (…) C’est dans une ambiance qui nous fait revivre l’époque des colonies françaises que se déroulent les dimanches du conte. »
Catherine Gaulin, Quartier Libre, 27 octobre 2010
La chance sourit à deux conteurs de Baie-Comeau
« Tout dépendant de vos croyances, les Dimanches du conte, c’est comme la Mecque, St-Pierre de Rome ou Disney World (…) C’est un endroit incontournable où est né le renouveau du conte au Québec (…) Les Productions du Diable Vert ont acquis une solide réputation en faisant la promotion du conte ainsi que des conteurs de la relève. La mention d’une participation aux Dimanches du conte constitue un atout très intéressant dans un curriculum vitae d’artiste. »
Raphaël Hovington, Plein Jour, 12 octobre 2010
Les dimanches du conte
Depuis 1998, au gré de ses imprévisibles dérapages narratifs, le conteur Jean-Marc Massie anime de main de maître les Dimanches du conte. Chaque dimanche, il réchauffe l’ouïe des spectateurs tel un jazzman du verbe avant de leur présenter avec panache le ou les conteurs qu’il a programmé pour l’occasion, clôturant enfin la soirée avec une performance improvisée oscillant entre la réalité et la fiction.
Cyberpresse, 23 mai 2010
Où en est le renouveau du conte
«Au Québec, le renouveau s’est institué avec «Les dimanches du conte», au bar Le Sergent Recruteur en août 1998. Le Sergent est reconnu jusqu’en France»
Sébastien Lavoie, Lettres québécoises, hiver 2006
Mots en scène
«Lemelin est d’ailleurs à l’origine de plusieurs activités liées à l’oralité et au conte. Avec Jean-Marc Massie, fidèle équipier à la barre, il
a créé les Dimanches du conte à la brasserie le Sergent recruteur, qui se tiennent chaque semaine devant une salle pleine depuis huit ans maintenant»
Stéphane Despatie, Entre les lignes, hiver 2006
Un sergent qui recrute bien des disciples
«La Raconteuse, c’est une des bières blondes que Dany Couture, le brasseur, continue à réaliser (…) Le Sergent recruteur est une entité unique. En plus, tous les dimanches, on aime à se raconter des histoires. Ici, la Raconteuse ne pouvait pas être plus à son aise.»
Philippe Mollé, Le Devoir, 12-13 novembre 2005
Les dimanches du conte tournent
« Pour une deuxième année consécutive, un groupe de trois conteurs de la première vague du Sergent recruteur (1998-2000), composé de Jean-Marc Massie , André Lemelin et François Lavallée, partiront cet automne en tournée au Québec pour présenter « Le Cabaret des Dimanches du conte ». Depuis 1998, les conteurs du Sergent
recruteur ont fait des Dimanches du conte un des happenings hebdomadaires les plus courus en ville. »
L’aut’journal, septembre 2005
8e saison des Dimanches du conte
«Petit regroupement d’initiés lors de leur création, en 1998, les Dimanches du conte font désormais partie des happenings incontournables de la vie
montréalaise et sont, de l’avis de plusieurs, la pierre d’assise de l’engouement pour le conte observé un peu partout au Québec depuis quelques années.»
Tristan Malavoy-Racine, Voir Montréal, 8 septembre 2005
Vivement dimanche au Sergent Recruteur
«On présentera le 11 septembre, pour la soirée d’ouverture, la dernière mouture du Cabaret des Dimanches du conte intitulée
L’Incroyable odyssée du Sergent recruteur avec les conteurs François Lavallée, André Lemelin et Jean-Marc Massie … Ces conteurs ont tous la langue bien pendue et plusieurs d’entre-eux possèdent des réputations bien établies.»
Manon Guilbert, Le journal de Montréal, 27 août 2005
Les livres parlant de Planète Rebelle
«Marie-Fleurette Beaudoin insiste sur la révolution que la parole vivante a déclenchée dans le milieu de l’édition : Nos livres se prolongent nécessairement dans les récitals, les festivals… Les Dimanches du conte qui se tiennent au Sergent recruteur reflètent l’esprit qui nous anime.»
Michel Lapierre, Ici (Montréal), 4 août 2005
Un choix contes
«Bonne nouvelle pour les amateurs de contes âgés de 18 ans et plus : les Dimanches du conte ont réintégré la microbrasserie Le Sergent recruteur (…) Au programme, toujours de la bière, des pizzas, plus d’espace et de sièges et surtout une nouvelle formule : le «Conteur du mois» (…) le visage du conteur du mois sera d’ailleurs moulé en plâtre et exposé sur place, des fois que ça pourrait partir une légende … Le mois de mai est consacré au conteur Mathieu Lippé.».
Marie-Christine Blais, La Presse, 12 mai 2005
Conteur du mois
«Les Dimanches du conte sont de retour à la nouvelle adresse du Sergent recruteur avec le «conteur du mois» Mathieu Lippé. Fusionnant musique, gestuelle et poésie, le jeune conteur originaire du Bas-du-Fleuve présentera son spectacle L’important, c’est ça qui conte! les 1er et 8 mai. Transporté par les airs jazzés du quartette
estrien Vizzaj, ce spectacle explore les limites du récit et du son. Ensuite, les 15, 22 et 29 mai, place au tout nouveau spectacle L’Épopée d’un poteau.»
M.Pietracupa, Voir (Montréal), 28 avril 2005
Populaire le conte
«Les Dimanches du conte attirent les foules au Sergent recruteur, microbrasserie du boulevard Saint-Laurent, un soir par semaine, depuis 1998. Une réussite spectaculaire ! Entreprise à laquelle nul ne croyait au début. Les initiateurs, Jean-Marc Massie et André Lemelin avaient pourtant vu juste (…) En tournée dans les Maisons de la culture et les cégeps de la région de Montréal avec le spectacle L’incroyable odyssée du Sergent recruteur, quatre conteurs de la première vague du Sergent, Claudette L’Heureux, François Lavallée, Massie et Lemelin, portent la parole vivante auprès des jeunes, dont l’écoute attentive surprend. En y adjoignant le concours Conteur d’avenir, qui s’adresse aux étudiants, on souhaite assurer la relève.»
Raymond Bertin, Elle Québec, Mars 2005
La chaleur des mots
«En banalisant la parole, la télévision l’a tuée. À lui seul, le livre ne peut restituer la chaleur physique des mots. Voilà ce que pensent un nombre surprenant de gens,
très souvent à l’insu des médias et de l’arrière-garde littéraire. Chaque dimanche soir, jusqu’à 200 personnes se rendent au bar montréalais Le Sergent recruteur pour y écouter des contes et de la poésie»
Michel Lapierre, Ici (Montréal), 17 février 2005
Des histoires pour faire rire aux larmes
«Le petit endroit était plein à craquer d’au moins une bonne soixantaine de personnes. Dont quelques Acadiens qui se sont manifestés avec enthousiasme. Il s’agissait de
la lancée des Parlures d’Acadie, et ce, dans le cadre des Dimanches du conte à Montréal. Habituellement, ces soirées ont lieu au Sergent recruteur. Mais comme le bar
fait peau neuve en ce moment, elles se sont déplacées, pour le mois de février, dans le sympa Cabaret du Roy, qui nous ramène à une autre ère. On a pu être témoin de
la complicité de quatre conteurs qui se sont rencontrés à la deuxième Nuit internationale du Conte en Acadie (NICA 2003). Dominique Breau, de Pont-Landry, Myriame El Yamani, de Madran, Nelson Michaud, de Dalhousie, et Alfred Léger, des Colonies Belledune, sont venus habiter la petite scène pour nous conter, dans un vieux français, des «énormités» acadiennes… et nous faire sourire, rigoler, rire aux larmes.»
Sabin Desmeules, L’Acadie nouvelle, 8 février 2005
Le retour de la mémoire
«Pendant que l’obscurité s’installe dans les rues de Montréal et que le froid et la pluie défigurent ce dimanche d’octobre, une foule enthousiaste et attentive s’engouffre dans un bar de la rue Saint-Laurent pour assister à une soirée de contes. Une tradition que l’on croyait disparue à la suite de l’échec du référendum de 1980 mais qui gagne en popularité depuis 1998, année des premiers Dimanches du conte du Sergent Recruteur (…) Un succès qui ne se dément pas grâce, entre autres, à une clientèle jeune.»
Robert Laplante, La Presse, 18 octobre 2004
Passer le feu du conte
«…depuis quelques années, les soirées, festivals et événements tournant autour du conte, ont proliféré en nos contrées (…) Au Québec, Petronella Van Dijk estime que les soirées de conte, qui se déroulent au bar, le Sergent recruteur, ont entraîné la formation de toute une génération de jeunes conteurs, Fred Pellerin en tête.»
Caroline Montpetit, Le Devoir, 16-17 octobre 2004
Les dimanches du conte : c’est reparti!
«Les Dimanches du conte ont repris de plus belle pour une 7e saison au Sergent Recruteur. Comme si ce n’était pas assez, quatre conteurs
vétérans de ces soirées (Jean-Marc Massie, André Lemelin, Claudette L’Heureux et François Lavallée) partiront cet automne en tournée au Québec pour répandre la
bonne nouvelle avec Le Cabaret des Dimanches du conte. Dans la plus pure tradition de ces soirées, le Cabaret relatera l’histoire de la Nouvelle-France à travers
l’étrange destin du sergent recruteur …»
M.Hamelin, Voir (Montréal), 16 septembre 2004
Contes du haut-du-fleuve
«Simon Gauthier, Simon-du-fleuve pour les intimes, est un conteur plus grand que nature. Tous les dimanches de mai, il envahit – et conquiert – la petite salle du Sergent recruteur. Âge moyen : le soir où j’y étais, entre 20 et 30 ans (…) une fois en spectacle, le conteur, qui ne donne déjà pas sa place en entrevue, prend la salle d’assaut et la rive à son récit. À la fin du spectacle, le présentateur du Sergent Recruteur demandait aux gens de revenir le dimanche suivant avec «des tam-tam et des percus, pour le show de Simon». Ça va être le party !» Vrai comme chu là!»
Anne-Marie Cloutier, La Presse, 22 mai 2004
Une trêve imposée
«Contes et histoires revivent dans la métropole comme un baume sur nos âmes d’éternels enfants (…) «Le renouveau du conte s’inscrit dans quelque chose de plus large qui touche aussi la musique traditionnelle, comme celle que La Bottine souriante a remise sur la map il y a quelques années» explique l’animateur et conteur aux Dimanches du conte, Jean-Marc Massie, qui, chaque soirée dominicale, au Sergent recruteur, une brasserie artisanale du boulevard Saint-Laurent, anime ces soirées devant quelque 200 personnes»
Claudia Larochelle, Le Journal de Montréal, 21 février 2004
Performances orales
«Comme les politiciens (surtout en période électorale), les conteurs professionnels gagnent leur vie en racontant des histoires. Les meilleurs d’entre eux se donnent rendez-vous le jour du Seigneur au Sergent recruteur […] Le Sergent recruteur, c’est un peu le siège social montréalais des conteurs québécois»
Jean-Yves Girard, Le Devoir, 7 mars 2003
Les uns et les autres et Pierre Luc
«Le conte explose au Québec. Les jeunes nourris de science-fiction et de fantastique se lancent dans ce genre encore négligé il n’y a pas longtemps. Il faut aller au bar Le Sergent recruteur, à Montréal, tous les dimanches, pour se rendre compte de ce regain extraordinaire s’enthousiasmait Faubert …»
Pierre Luc, Allô-Vedettes, 8 novembre 2003
Contes pour tous
«L’idée d’instaurer des soirées de contes sur une base hebdomadaire paraissait saugrenue en 1998 … Le conte avait bien son heure de gloire deux ou trois fois par année par le biais d’un festival, d’un Michel Faubert … Mais tout ça demeurait très ponctuel, jusqu’à ce que Jean-Marc Massie et André Lemelin soient assez fous pour créer les Dimanches du conte à la microbrasserie du Sergent recruteur … Et ça a marché, marché très fort, et ça marche encore […] Le livre-CD
Les Dimanches du conte marquant les cinq ans de ces soirées … témoigne bien de cette réussite.»
Stéphane Despatie, Voir (Montréal), 2 au 8 octobre 2003
Les conteurs du Sergent Recruteur
«Pour le cinquième anniversaire de leurs rencontres au pays des Satans en costard trois pièces, les conteurs de la petite brasserie du boulevard Saint-Laurent se réunissent pour la dernière fois … ce livre vaut le détour. Comme quoi la culture orale tente de rejoindre de plus en plus, presque ironiquement, le marché de la lecture. Bien que le disque l’accompagnant, bercé de superbes musiques, rende l’âme du conte avec, entre autres, l’égouïne de Nicolas Letarte, rien ne vaut la voix d’un conteur qui résonne sur les planches des murs»
Maxime Catellier, Ici (Montréal), 2 au 8 octobre 2003
Contes pour tous
«Comme tous les dimanches depuis cinq ans, une foule nombreuse s’entasse au bar Le Sergent recruteur … Sur deux étages, sirotant le houblon artisanal de la maison, quelque 200 personnes attendent les premières intonations de la soirée. C’est ici, en avril 1998, que des conteurs et conteuses de toutes la province ont commencé à donner un sérieux coup d’accélérateur au renouveau de la tradition orale [ …] Au Québec, les endroits qui offrent une tribune aux conteurs se multiplient … le plus connu à Montréal demeure Le Sergent recruteur et ses dimanches du conte …»
Alec Castonguay, Voir (Montréal), 27 mars au 2 avril 2003
Des histoires à raconter
«Au mois de septembre dernier, Les Productions du Diable Vert célébraient les cinq ans d’existence des
Dimanches du conte en lançant le livre-disque anniversaire
Les Dimanches du conte. Déjà 5 ans ! La mission de ce groupe de conteurs associés à ces soirées … est de moderniser le genre du conte, tout en préservant son côté traditionnel, à la base de sa définition. En plein coeur de la ville, de la métropole, les histoires s’urbanisent, sortent des campagnes, mais traînent toujours avec elles ce qui faisait le propre de la mythologie populaire et rurale, mélangeant l’oralité à la textualité, la théâtralisation du texte et sa saisie sur papier et sur disque, le passé et le progrès, le corps et la technologie, le merveilleux et le savoir.»
Nicolas Tremblay, Lettres québécoises, N°112, hiver 2003
Ça conte et ça raconte chez nous
«Depuis 1998, les Dimanches du conte, présentés à la microbrasserie du Sergent recruteur et menés par l’animateur-Conteur Jean-Marc Massie, sont devenus le happening hebdomadaire le plus couru en ville (…) Pépinières de nouveaux talents, le Sergent, d’autre part, attire un public dans la vingtaine surtout …»
Pierre Luc, Allô-Vedettes, 17 janvier 2003
Locaux loquaces
«Au bar, Le sergent recruteur, les Dimanches du conte font salle comble depuis leur création en 1998 […] La clientèle fidèle aux Dimanches du conte est en majorité constituée d’étudiants dans la vingtaine. Selon Luc Desnoyers, 30% du public se renouvelle chaque semaine. La qualité d’écoute y est extraordinaire. On entendrait une mouche voler !»
Sara-Emmanuelle Duchesne, Montréal campus, 12 septembre 2001
Le renouveau du conte
«Depuis quelques années, ce genre tombé en désuétude connaît un regain de vie sans précédent. Dépoussiéré, actualisé, le conte est de toutes les tribunes [ …] les Dimanches du conte de la microbrasserie Le Sergent recruteur ont remis le conte au goût du jour, favorisant un profond renouveau dans la forme autant qu’une diffusion plus large.»
Tristan Malavoy-Racine, Voir (Montréal), 15 au 21 novembre 2001
Le conte, le vidéoclip de l’esprit
«Récemment, une communauté de conteurs montréalais a revigoré le style chez nous. Attirant de plus en plus d’intéressés, ils se sont manifestés au Sergent recruteur»
Philippe Renaud, La Presse, 9 novembre 2000
Il était une fois… les conteuses
«C’est dimanche de contes au bar Sergent recruteur, à Montréal. Murs de vieilles pierres, chaises de bois qui craquent, éclairage tamisé, conversations feutrées et musique vaguement planante : même entre les prestations des conteurs, l’ambiance est à la magie […] Chaque dimanche, l’établissement de la rue Saint-Laurent fait d’ailleurs salle comble. Faute d’un nombre suffisant de sièges, les derniers arrivants s’appuient contre les murs ou squattent l’escalier. Têtes grises et jeunes hippies échangent sourires et commentaires autour d’une bière maison … Ici le mélange des générations comme des cultures est recherché»
Dominique Reny, Femme plus, février 2000
Le diable, c’est l’étranger!
«Les contes et légendes reviennent à la mode. À la taverne du Sergent recruteur à Montréal on doit enlever les tables le dimanche soir pour mettre plus de chaises : les conteurs sont de plus en plus populaire»
Louise Cousineau, La Presse, 13 janvier 2000
Le retour du conte
«La littérature du siècle prochain sera-t-elle orale, comme elle l’était à l’origine? L’art du conte, en tout cas, effectue un retour manifeste. Chaque dimanche, au bistrot Le Sergent recruteur, à Montréal, on écoute au chaud, comme dans l’temps, les meilleurs conteurs modernes»
Sophie Gironnay, L’Actualité, 15 octobre 1999
Franc succès sur le plateau
«Tous les dimanches, au bar Sergent recruteur, des conteurs entraînent une salle comble dans une chasse pittoresque à la baleine ou encore turlutent l’air du meunier pour emporter la foule dans une chasse-galerie des plus homériques […] Les dimanches du conte attirent chaque fois de 100 à 150 personnes. Lors du premier anniversaire, le 4 avril dernier, ce sont plus de 200 individus qui ont rempli à craquer le bar du 4650 boulevard Saint-Laurent.»
Marie Christine Bergeron, L’Express du Plateau, 5 mai 1999
De jolis contes du Dimanche
«En un certain lieu, le dimanche, depuis un an très exactement, la parole est à eux. Par la seule force du verbe, ils transportent une foule de plus en plus nombreuse et bigarrée au pays des fables et des histoires à dormir debout. Sacrés conteurs ! […] Au bar du Sergent recruteur, quelque part sur la
Main, voilà maintenant une année que ces conteurs nouvelle vague se font entendre gratuitement le Jour du Seigneur […] Au début, ils ont bien fait la manchette dans la catégorie insolite, mais là, il semble qu’ils veuillent s’incruster : il y a que le genre plaît. De plus en plus.»
Dominique Lachance, Journal de Montréal, 2 avril 1999