3 avril 2011 à 20:00 avec Isabelle Larouche et Yolaine
Avec ces duos, le Diable Vert veut donner la chance à des conteurs de la relève, qui ont déjà fait leur preuve à l’occasion de la soirée « Nouveaux visages du conte au Québec », de se « faire les dents » en duo avant éventuellement de présenter un spectacle solo dans le cadre des Dimanches du conte.Une maison en carton, avec une petite poignée sur le côté, des roues sous les pieds, des ailes dans le dos, le nez vers l’horizon. Nous transportons des lumières découpées qui retombent, comme des feuilles multicolores, sur les sentiers empruntés. Tessons de verre qui transforment la vie en petite chapelle, peut-être en cathédrale, tout est possible. Tant que la maison de carton ne se transforme pas en maison de brique et que le vent continue d’y souffler. Nous n’avons pas peur du loup, ni du reste du bestiaire. Et vous ?
Isabelle Larouche
Telle une véritable nomade, Isabelle Larouche migre constamment entre l’imaginaire et la réalité. Les mains pleines de trésors et la tête remplie d’histoires, elle affectionne ce qui est intemporel, sans corps ni prix; ce quelque chose qui fluctue dans l’âme, qui donne raison, espoir et vie. Auteure et conteuse, elle a le verbe pour ami, les mots pour nourriture et un petit feu qui crépite au fond des yeux. C’est tout ce dont elle a besoin pour vivre.
Yolaine
« Qui a dit que les jeunes étaient incapables de se concentrer, qu’après quelques secondes, ils décrochaient à cause de leur intense fréquentation de l’ordinateur et de jeux vidéos? Sûrement pas Isabelle Larouche qui a animé une belle rencontre hier […] Certains étaient sagement assis sur leur chaise, les mains jointes, alors que d’autres avaient préféré s’installer par terre, au pied de la tribune. Tous avaient les yeux rivés sur leur interlocutrice, qui avait piqué leur curiosité en annonçant qu’elle possédait une baguette magique… »
Daniel Côté, Le Quotidien, 31 septembre 2008
« Roberval est en vedette dans le plus récent ouvrage d’Isabelle Larouche qui s’intitule La partie du siècle. L’auteure a présenté son livre en grande première à la Bibliothèque de Mashteuiatsh, dans le cadre de la journée de la culture. […] Ce livre est traduit à la fois en français et en innu. […] C’est un peu une manière de conserver et de perpétuer cette langue… »
posté le 27 mars 2011 à 08:27 par jmmassie (pas de commentaire)