Dernière Heure, décembre 2002.
Jocelyn Bérubé, un conteur né. Des mots, une voix, une présence. Il a transporté le public de la bibliothèque de Québec sur les îles de la Madeleine, là où a échoué le corps d’un ancien esclave noir qui voulait venger la mort de sa femme empoisonnée par la morue séchée de troisième catégorie. Il ravive le vieil art […].
Ouest-France, décembre 2000.
C’est Alexis le trotteur, c’est un cheval, c’est un train tout à la fois, c’est le Québec légendaire, poétique et musical, c’est les étoiles, la lune et la forêt, et c’est une voix puissante, des yeux d’hypnotiseur, des pieds qui martèlent le sol et des bras qui virevoltent quand ils ne tiennent pas un violon magique […].
Lettre du Québec, France, novembre 2000.
posté le 8 décembre 2010 à 17:02 par Jean-Francois Yelle (pas de commentaire)