Annick Leblanc
En voie d’achever son périple initiatique au pays de l’UQÀM, où elle a séjourné le temps d’un BAC au sein de la tribu «ARC» (Animation et Recherche Culturelle), Annick LeBlanc nous revient rescapée - et bien vivante - dans l’univers du conte et des folies imaginaires. Depuis 2001, elle participe à quelques reprises au Festival international Contes en Îles, d’abord en tant qu’accordéoniste improvisée et enfin, comme conteuse de la relève. En 2004, la jeune madelinienne remporte le premier prix du jury au concours Cégep en spectacle des Îles avec un récit intitulé «Le corbeau du Havre-Aubert» de Jacques Leblanc. Son parcours semé de paroles et de musiques des Îles-de-la-Madeleine, l’a également mené jusqu’à Natasquan, lors de la première édition du Festival de l’Innucadie en 2006.
Ce que les médias en ont dit
«Annick Leblanc sait pourquoi le diable ne vient plus rôder autour de Havre-Aubert. Dans une langue fascinante, où se mêlent le langage pour les sourds […], l’accordéon et les mots parlés, elle ensorcelle son auditoire, lui apprenant à se méfier des grands corbeaux.»
Tristant Malavoy-Racine, Voir, 28 septembre 2006
«Une aisance palpable avec son public, des pointes d’humour très bien placées, un soupçon d’improvisation aux justes moments, un sens du «punch» incroyable et une histoire qui coulait de l’imaginaire comme une belle rivière qu’on aime entendre.»
Georges Gaudet, Le RADAR, 26 novembre au 2 décembre 2004
posté le 4 septembre 2009 à 09:45 par Jean-Francois Yelle (pas de commentaire)