8 mars 2015 à 19:30 avec Danielle Brabant
Un homme perd sa place, son cœur en perd la sienne. Sa filleule, qui tente de maintenir à flot sa librairie indépendante, l’accueille chez elle. Il s’ensuit une histoire d’entraide, de connexions, d’ondes et d’interférences avec une auto rouge, des enfants de six ans, la mer et les marées, une danse sauvage, des bonbons collants, de la poussière d’hommes, des oies des neiges, des silences et un ange qui aime le rodéo.Bref, c’est une histoire avec la vie, la mort et un cœur qui bouge avec pas de permis, une histoire de résilience et d’ouverture où bat le flux et le reflux de la vie.
Danielle Brabant
Avec son sourire, ses yeux pétillants et son délicieux accent, cette Québécoise qui a basculé dans le conte voici tout juste 10 ans, a entraîné le public dans son univers où se mêlent poésie et humour, amour des mots et magie de la parole, émotion et imaginaire, fables de la vie et surréalisme. Son Madame B a particulièrement été applaudie par des spectateurs tombés sous le charme.
J.-C. Vouillon, Le Journal de Saône et Loire, 8 décembre 2012
Danielle Brabant, c’est cette petite femme aux yeux pétillants dont les mots semblent jaillir comme d’une source vivante, inépuisable. Une femme qui, seule sur la scène, sans artifices, vidéo ou accessoires, sagement vêtue d’une petite robe noire, est capable d’entraîner un public dans une histoire complexe tissée de poésie, d’humour et de réflexions profondes sur le monde. Pendant une heure, la magie de son récit porte les spectateurs sur un tapis volant de mots tandis qu’ils rient, pleurent et partagent même des bouts de leur propre histoire. Et on apprend qu’elle a été invitée à conter en France, en Belgique, en Suisse, aux îles Canaries, en Colombie et en Argentine, et qu’elle poursuit son chemin comme si elle avait une étoile pour guide. Quand on a été porté une fois par le fil de sa voix, on n’est pas vraiment surpris, c’est dans l’ordre des choses. Il faut bien le reconnaître, cette voisine, cette amie d’amis, celle qu’on croise parfois à l’épicerie du Bic, notre conteuse de village-devenu-arrondissement, est une conteuse pour le monde.
Anjuna Langevin, Le Mouton Noir, 9 mars 2012
Avec ses personnages sensibles et attachants, une énergie communicative, de l’humour, de l’émotion, la Québécoise Danielle Brabant a fait honneur à la tradition du conte et au génie de la narration tout au long de son spectacle.
Véronique Constance, France Ouest, 28 novembre 2007
posté le 19 août 2014 à 11:19 par jmmassie (pas de commentaire)