*** IMPORTANT *** Cette saison les billets pour assister en personne aux Dimanches du conte au Jockey ne seront en vente que sur ATUVU.CA (5$) ainsi qu’à la porte (10$) le soir du spectacle. Puis tous les mardi seront mis en vente sur la billetterie Lepointdevente.com (5$) et sur notre site web (5$) le lien web permettant de voir la captation vidéo du spectacle présenté le dimanche d’avant *** IMPORTANT***
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Né de la rencontre spontanée de quatre artistes de la parole sur la grève de Trois-Pistoles à l’occasion du Rendez-vous des Grandes Gueules 2019, ce band de poésie contée performative s’amuse en adoptant le concept de posture chromatique. À partir du nuancier de leurs voix singulières, Amélie Prévost, Élise Argouarc’h, Paul Bradley et Véronique Bachand, fidèles à leurs univers respectifs, mettent en dialogue leurs créations parlées. Primaires, les couleurs secondaires est un collectif qui prend le risque d’unir leurs teintes, de mêler leurs histoires, de jouer avec les formes, dans une onde contrastée et sans filtre.
Véronique Bachand
Véronique Bachand est poète, conteuse et auteure. Reconnue pour son travail comme artiste de la parole, elle a foulé de nombreuses scènes, notamment avec ses spectacles M’entends-tu? (2014-2016) et Avec le rire de ma grand-mère (2019…). À l’écrit, Véronique a publié le recueil de poèmes à quatre mains Décembre brule et Natashquan attend (2017) ainsi que plusieurs autres textes dans des revues et ouvrages collectifs. Animatrice d’ateliers dans les écoles, chargée de cours à l’université et organisatrice d’évènements de littérature orale, elle est aussi étudiante au doctorat en études et pratiques des arts
Amélie Prévost
Amélie Prévost est une artiste de la parole (spoken word, slam, conte) dont la démarche puise
à la fois dans la poésie et la performance scénique. Elle a remporté de la Coupe du monde de
slam, à Paris, en 2016. Elle est l’autrice-interprète de 4 spectacles en poésie performée dont les
plus récents sont Fol ouvrage (Torcher des paillettes), créé en collaboration avec Queen Ka, et
Kamikaze du vendredi, issu du livre du même titre, publié aux éditions Planète rebelle en 2021.
Elle a aussi fait paraître le recueil de poésie Corps Flottants, illustré par le peintre Steve Poutré,
aux éditions Neige-Galerie en 2017. Son plus récent recueil, intitulé Osti d’pain blanc, est paru
aux éditions de L’Hexagone en mars 2023. Elle est membre du collectif en poésie contée
Primaires, les couleurs secondaires.
Crédit photo : Julia Marois
Élise Argouarc’h
Elise Argouarc’h transcende l’exil grâce à la création parlée depuis son immigration au Québec en 2011. Elle s’intéresse à l’interaction entre le corps et l’oralité dans la performance artistique comme voie d’actualisation identitaire. Depuis 2014, elle apparaît sur les scènes conte et slam du Bas-Saint-Laurent. En solo ou dans des collectifs, ses thèmes privilégiés sont féministes, territoriaux, migratoires et suivent le chemin d’une décolonisation intime. A l’instar de Gougaud, elle estime que les arts de la parole peuvent « faire exister les gens à qui ils parlent ». Elle offre dans divers milieux des ateliers de création de kasàlà (poésie de louange africaine) pour développer le pouvoir de dire et d’être. Elle fait actuellement un doctorat pour étudier comment les arts de la parole peuvent soutenir la résilience et l’inclusion des femmes réfugiées accueillies au Bas-Saint-Laurent.
Paul Bradley
Elise Argouarc’h transcende l’exil grâce à la création parlée depuis son immigration au Québec en 2011. Elle s’intéresse à l’interaction entre le corps et l’oralité dans la performance artistique comme voie d’actualisation identitaire. Depuis 2014, elle apparaît sur les scènes conte et slam du Bas-Saint-Laurent. En solo ou dans des collectifs, ses thèmes privilégiés sont féministes, territoriaux, migratoires et suivent le chemin d’une décolonisation intime. A l’instar de Gougaud, elle estime que les arts de la parole peuvent « faire exister les gens à qui ils parlent ». Elle offre dans divers milieux des ateliers de création de kasàlà (poésie de louange africaine) pour développer le pouvoir de dire et d’être. Elle fait actuellement un doctorat pour étudier comment les arts de la parole peuvent soutenir la résilience et l’inclusion des femmes réfugiées accueillies au Bas-Saint-Laurent.