Parcourant à pied le Québec, dans une modestie absolue, Pierrot le Vagabond aux yeux radieux part à la recherche d’autres rêveurs et rêveuses qui font de leur vie des oeuvres d’art au quotidien. Toujours sur la route, ce pétillant lutin des grands chemins prend soin des gens et rallume leur lumière, les faisant briller, un à un. Le rencontrer, c’est recevoir un grand souffle de poésie qui nous étreint, comme des bras chauds venus nous réconforter durant une nuit de tempête.
Simon Gauthier
Simon Gauthier est maître de l'égoïne. De La flûte enchantée à La valse aux adieux, en passant par l'hymne national américain version Hendrix, il joue de tout sur sa scie musicale. Un vrai juke-box boosté aux astéroïdes. Avec ses spectacles : Corne de brume, Simon Pète les plombs et Source(s), il habite la planète Conte depuis maintenant dix années et s'y porte très bien. Énergique, passionné, tantôt drôle, tantôt émouvant, il nous emmène dans des mondes oniriques et éclatés, vers lesquels on se laisse entraîner avec un indéniable plaisir. Natif de Sept-Îles, il a commencé sa carrière sur la Côte-Nord, en contant de village en village, à la manière des troubadours. Très apprécié en France, Simon y a fait plus de deux cents spectacles depuis 2005. Il s'est aussi produit en Suisse, en Belgique, en Tunisie, aux Pays-Bas et au Burkina Faso, où il a représenté le Québec au Xe Sommet de la francophonie, à Ougadougou. Comme l'a si bien dit Michel Faubert : «Simon est notre bédéiste de la parole.» On le reconnaît facilement en compagnie de son inséparable partenaire, la scie musicale, dont il tire des notes improbables.
Je voulais que le récit ne finisse pas afin de pouvoir continuer mes rêves. Quelle prestation !
André Tremblay, Le reflet de Tadoussac, août 2012
Un conteur québécois hors du commun, totalement délirant.
Ouest France, 23 février 2013
Simon Gauthier est un colporteur de bonheur.
La Voix du Nord, 21 novembre 2011
15 années à occuper les soirées dominicales, cela a permis au Diable Vert de présenter plus de 500 spectacles différents et de voir tout autant de conteurs fouler les planches des Dimanches du conte. Certains d’entre eux ont un parcours atypique qui certes mérite le respect mais qui provoque aussi la curiosité. Tout au long de la saison, cinq grandes entrevues seront menées de main de maître par l’animateur des Dimanches du conte afin d’en savoir plus sur ces artisans de la parole décomplexée, parole derrière laquelle se cache toujours une histoire, une anecdote à même de mieux nous faire connaître le conteur. Ce dimanche 28 avril, après notre grande entrevue, Simon Gauthier nous présentera sa nouvelle création, « Le vagabond céleste »
Simon Gauthier raconte l’abandon, l’abondance et le succès d’un homme qui avait tout pour être heureux. Mais un soir, il décille. Pierrot rêve de tout changer; il troque sa maison contre une paire de bottes, pour aller plus loin dans sa vie.
Depuis, il marche le Québec. Réel, intense et actuel, Pierrot le vagabond enlumine la conscience des gens qu’il croise. Le rencontrer, c’est recevoir un grand souffle de poésie qui nous étreint, comme des bras chauds venus nous réconforter durant une nuit d’hiver, sans abri. Du bonheur à travers le froid. Un récit émouvant porteur d’avenir.
Textes : Simon Gauthier Mise en scène : Daniel Gaudet
Simon Gauthier
Simon Gauthier est maître de l'égoïne. De La flûte enchantée à La valse aux adieux, en passant par l'hymne national américain version Hendrix, il joue de tout sur sa scie musicale. Un vrai juke-box boosté aux astéroïdes. Avec ses spectacles : Corne de brume, Simon Pète les plombs et Source(s), il habite la planète Conte depuis maintenant dix années et s'y porte très bien. Énergique, passionné, tantôt drôle, tantôt émouvant, il nous emmène dans des mondes oniriques et éclatés, vers lesquels on se laisse entraîner avec un indéniable plaisir. Natif de Sept-Îles, il a commencé sa carrière sur la Côte-Nord, en contant de village en village, à la manière des troubadours. Très apprécié en France, Simon y a fait plus de deux cents spectacles depuis 2005. Il s'est aussi produit en Suisse, en Belgique, en Tunisie, aux Pays-Bas et au Burkina Faso, où il a représenté le Québec au Xe Sommet de la francophonie, à Ougadougou. Comme l'a si bien dit Michel Faubert : «Simon est notre bédéiste de la parole.» On le reconnaît facilement en compagnie de son inséparable partenaire, la scie musicale, dont il tire des notes improbables.
Musiciens invités : Sylvain Plante (batterie), Gabou (basse électrique), Marc Papillon (guitare électrique).
Peintre en direct aux couleurs du conte : Michel Monett
Simon Gauthier
Simon Gauthier est maître de l'égoïne. De La flûte enchantée à La valse aux adieux, en passant par l'hymne national américain version Hendrix, il joue de tout sur sa scie musicale. Un vrai juke-box boosté aux astéroïdes. Avec ses spectacles : Corne de brume, Simon Pète les plombs et Source(s), il habite la planète Conte depuis maintenant dix années et s'y porte très bien. Énergique, passionné, tantôt drôle, tantôt émouvant, il nous emmène dans des mondes oniriques et éclatés, vers lesquels on se laisse entraîner avec un indéniable plaisir. Natif de Sept-Îles, il a commencé sa carrière sur la Côte-Nord, en contant de village en village, à la manière des troubadours. Très apprécié en France, Simon y a fait plus de deux cents spectacles depuis 2005. Il s'est aussi produit en Suisse, en Belgique, en Tunisie, aux Pays-Bas et au Burkina Faso, où il a représenté le Québec au Xe Sommet de la francophonie, à Ougadougou. Comme l'a si bien dit Michel Faubert : «Simon est notre bédéiste de la parole.» On le reconnaît facilement en compagnie de son inséparable partenaire, la scie musicale, dont il tire des notes improbables.
Le conteur ch’ti Pierre Delye à l’honneur
Afin de profiter pleinement de son premier passage au Québec, l’excellent conteur ch’ti Pierre Delye sera à l’affiche des Dimanches du conte durant tout le mois de février. Vous aurez ainsi le privilège d’apprécier son vaste répertoire de contes. Grâce à son verbe vif et truculent, il vous fera atterrir tout en douceur sur le sol français du Nord-Pas-de-Calais, là où vous apparaîtra le pays ch’ti dans toute sa splendeur. Racontant de manière surréaliste sa terre natale, chaque dimanche, notre conteur ambassadeur présentera un spectacle différent en solo ou accompagné par l’un de ses conteurs québécois préférés.
Carte blanche à Pierre Delye
Coups de coeur, coups de foudre, coups de jarnac ou les trois à la fois, le conteur Pierre Delye nous a concocté une fricassé fracassante avec des conteurs d’ici rencontrés chez lui au pays des ch’ti. Mathieu Lippé, Simon Gauthier et Jean-Marc Massie seront de la partie
Jean-Marc Massie
Mathieu Lippé
Pierre Delye
Avec une gourmandise non dissimulée, Pierre raconte la vraie nature de ses personnages ch’tis. Parfois avec ironie mais sans cynisme. Ses histoires puisent dans notre mémoire – on y retrouve tous quelque chose « d’avant » - et regorgent en même temps de clins d’oeil à l’actualité.
Enfant, Pierre Delye était un lecteur avide, ne recevant pour Noël que des « cadeaux rectangulaires » et dévorant tout ce qui lui tombait sous la main. Ce fils d’instituteur a grandi dans le Nord-Pas-de-Calais au pays des ch’tis, habitant l’école communale et faisant son miel de la bibliothèque du lieu comme du rayon livres du supermarché du coin lors des traditionnelles courses en famille du samedi.
Pierre Delye a toujours cultivé un humour décalé et un goût de la parole incisive, passant de longues heures à discuter avec ses voisins ch’tis de leurs exploits de pêche ou de chasse, ou à animer les déjeuners familiaux avec ses blagues certifiées pures ch’tis.
«... Eblouissant de maîtrise et de discrétion, Pierre Delye amène le public à comprendre ce qu’il y a derrière les mots, d’une simple intonation ou d’une question suggérant en même temps la réponse. C’est extrêmement fort...»
Télérama
Simon Gauthier
Simon Gauthier est maître de l'égoïne. De La flûte enchantée à La valse aux adieux, en passant par l'hymne national américain version Hendrix, il joue de tout sur sa scie musicale. Un vrai juke-box boosté aux astéroïdes. Avec ses spectacles : Corne de brume, Simon Pète les plombs et Source(s), il habite la planète Conte depuis maintenant dix années et s'y porte très bien. Énergique, passionné, tantôt drôle, tantôt émouvant, il nous emmène dans des mondes oniriques et éclatés, vers lesquels on se laisse entraîner avec un indéniable plaisir. Natif de Sept-Îles, il a commencé sa carrière sur la Côte-Nord, en contant de village en village, à la manière des troubadours. Très apprécié en France, Simon y a fait plus de deux cents spectacles depuis 2005. Il s'est aussi produit en Suisse, en Belgique, en Tunisie, aux Pays-Bas et au Burkina Faso, où il a représenté le Québec au Xe Sommet de la francophonie, à Ougadougou. Comme l'a si bien dit Michel Faubert : «Simon est notre bédéiste de la parole.» On le reconnaît facilement en compagnie de son inséparable partenaire, la scie musicale, dont il tire des notes improbables.
Le conteur ch’ti Pierre Delye à l’honneur
Afin de profiter pleinement de son premier passage au Québec, l’excellent conteur ch’ti Pierre Delye sera à l’affiche des Dimanches du conte durant tout le mois de février. Vous aurez ainsi le privilège d’apprécier son vaste répertoire de contes. Grâce à son verbe vif et truculent, il vous fera atterrir tout en douceur sur le sol français du Nord-Pas-de-Calais, là où vous apparaîtra le pays ch’ti dans toute sa splendeur. Racontant de manière surréaliste sa terre natale, chaque dimanche, notre conteur ambassadeur présentera un spectacle différent en solo ou accompagné par l’un de ses conteurs québécois préférés.
Duo de choc avec Simon Gauthier et Pierre Delye
Enfin réunis sur une même scène à Montréal, Simon Gauthier et Pierre Delye oscilleront tous deux entre l’Ancien et le Nouveau Monde. Lorsque les plaques techtoniques de l’Amérique et de l’Europe s’entre-choquent, tout peut arriver. L’apocalypse ou le paradis à la fin de vos jour ? Pour une nuit, votre destin sera entre les mains de nos deux prophètes de ….
Tout le mois de novembre sera consacré aux conteuses et conteurs qui ont fait le pari de maîtriser la bête électrique, sous toutes ses formes musicales. Lorsque l’ampli Marshall, la guitare Gibson et la pédale wa wa se mettent au diapason du conte en faisant vibrer les cordes vocales du narrateur, tout peut arriver, y compris l’apparition de pylônes verglacés au beau milieu du Cabaret du Roy.
Après une résidence de création à Trois Pistoles sous l’égide des compagnons de la mise en valeur du patrimoine vivant, Les Hommes à scie sont de retour plus électrifiés que jamais.
Imaginez un violon à clou répondant à la vibration d’une scie à moulin ; une égoïne électrique accompagnée par un carillon de crow-bars; le tintement du cristal se faufilant entre les maillons d’une chaîne forgée à même les clous du Christ. Dans cette nouvelle création, vous flotterez sur une croix de bois déferlant sur une rivière en furie jusqu’au lac Saint-Pierre, véritable cimetière où dorment les obus oubliés. Les Hommes à scie content en toute impunité, dérobent votre imaginaire, détournent vos rêves vers de lumineux cauchemars.
Simon Gauthier est maître de l’égoïne. De La flûte enchantée à La valse aux adieux, en passant par l’hymne national américain version Hendrix, il joue de tout sur sa scie musicale. Un vrai juke-box boosté aux astéroïdes. Avec ses spectacles : Corne de brume, Simon Pète les plombs et Source(s), il habite la planète Conte depuis maintenant dix années et s’y porte très bien. Énergique, passionné, tantôt drôle, tantôt émouvant, il nous emmène dans des mondes oniriques et éclatés, vers lesquels on se laisse entraîner avec un indéniable plaisir. Natif de Sept-Îles, il a commencé sa carrière sur la Côte-Nord, en contant de village en village, à la manière des troubadours. Très apprécié en France, Simon y a fait plus de deux cents spectacles depuis 2005. Il s’est aussi produit en Suisse, en Belgique, en Tunisie, aux Pays-Bas et au Burkina Faso, où il a représenté le Québec au Xe Sommet de la francophonie, à Ougadougou. Comme l’a si bien dit Michel Faubert : «Simon est notre bédéiste de la parole.» On le reconnaît facilement en compagnie de son inséparable partenaire, la scie musicale, dont il tire des notes improbables.
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Le métallurgiste hurlant aux mains d’acier et au coeur d’or Diplômé et enseignant en électromécanique, concepteur et réalisateur d’équipement hydropneumatique, soudeur émérite, métallurgiste de pointe, ébéniste décapant doué d’un sens musical stupéfiant, Marc St-Pierre est le concepteur de tous les instruments inusités des Hommes à scie : égoïne amplifiée, scie gong, réverbe à ressorts, crowbar mélodique, etc. Ayant déjà été magicien pour la roulotte à Buissonneault, au fil du temps, Marc St-Pierre est devenu l’un des bruit-colleurs les plus originaux du Québec. Artisan, avec Simon Gauthier, de la Sciemonmarc, une scie musicale brevetée au métal harmonique unique, Marc St-Pierre a modelé de toutes pièces le visage actuel des Hommes à scie. Une présence scénique indéniable et un aplomb inébranlable en font le maillon primordial des Hommes à scie. |
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Le gardien de la console affolée Auteur-compositeur-interprète bachelier du Conservatoire de musique du Québec à Montréal en composition électroacoustique, Benoit Rolland évolue depuis 10 ans dans le monde de la musique actuelle et contemporaine . Il a collaboré avec plusieurs artistes, dont Alexis O’Hara, le Floating Band, Esther Bourdages, Jean-François Blouin, Joe La Mouk etc… Sous le nom de Gentil Panda, il a lancé un album au printemps 2008. Depuis 2005, il est le compositeur maison du Théâtre de l’Utopie ; il a notamment fait la musique de Ce fou de Platonov de Tchekov, au théâtre Prospero, à l’hiver 2005, et du Misanthrope de Molière, au bain Saint-Michel, à l’hiver 2006. Enfin, il a été l’un des membres fondateurs de Da Oust Fiends, un groupe de punk-noise surréaliste mêlant mime, performance, vidéo, et ayant laissé « sens dessus-dessous » entre autres la Sala Rossa et le Cabaret Juste pour rire. Musicien-robot culinaire aux divers mélanges sonores, Benoit Rolland donne le ton. Le son des Hommes à scie, c’est lui. |
Ne manquez pas ces virtuoses de la parole toujours sur le fil de fer de la performance in situ.
Marie France Bancel – alias tatie èmèf – représente un croisement entre conteuse, poète et chroniqueuse. Au cours des quinze dernières années, elle a participé à plusieurs festivals de conte, cabarets littéraires et autres soirées multidisciplinaires. Ses textes ont parus dans diverses revues littéraires, zines et recueils collectifs. Elle représente également l’hémisphère nord du duo de poésie franspagnole KoraZón NordSud. En décembre 2016, elle se produisait à la Place des Arts en compagnie du « BLT de la poésie » (Bancel, Lebeau, Thérien) dans un numéro d’ouverture pour la chansonnière Francine Christie. Actuellement, elle se consacre au recueil des Microaventures urbaines de tatie èmèf, chroniques singulières d’une ville plurielle.
Franck Sylvestre est conteur – musicien depuis vingt ans et il visite les établissements scolaires avec ses spectacles de contes et ses ateliers de percussion depuis une quinzaine d’années. Il joue pour plusieurs compagnies de théâtre québécoises dont le théâtre les Deux Mondes, The Other Théâtre et dans différentes productions cinématographiques dont Elvis Gratton 2. Il produit en 2007 avec le soutien du CALQ, du CAC, du M.A.I. et de la MdC Mercier le spectacle Kabaret Karaïbes. Son livre réalisé en collaboration avec les élèves de l’école secondaire Sophie Barat intitulé Contes du ciel et de la terre est sorti en avril 2010 aux éditions Planète Rebelle.
Nathalie Derome est une artiste interdisciplinaire. Depuis le début des années quatre-vingt, elle questionne les pratiques du faire croire sous différents modes et en utilisant plusieurs médiums, dont la pratique de l’oralité, la musique et la vidéo. On a vu son travail résolument low-tech et intimiste au Québec, au Canada Anglais et en Europe. En 2008, elle publie un recueil à la maison d’édition Planète rebelle, Les temps qui courent. Vingt ans de paroles tenues, et présente le spectacle du même nom en compagnie des musiciens Jean Derome, Martin Tétreault et Frank Martel.
Simon Gauthier est maître de l’égoïne. De La flûte enchantée à La valse aux adieux, en passant par l’hymne national américain version Hendrix, il joue de tout sur sa scie musicale. Un vrai juke-box boosté aux astéroïdes. Avec ses spectacles : Corne de brume, Simon Pète les plombs et Source(s), il habite la planète Conte depuis maintenant dix années et s’y porte très bien. Énergique, passionné, tantôt drôle, tantôt émouvant, il nous emmène dans des mondes oniriques et éclatés, vers lesquels on se laisse entraîner avec un indéniable plaisir. Natif de Sept-Îles, il a commencé sa carrière sur la Côte-Nord, en contant de village en village, à la manière des troubadours. Très apprécié en France, Simon y a fait plus de deux cents spectacles depuis 2005. Il s’est aussi produit en Suisse, en Belgique, en Tunisie, aux Pays-Bas et au Burkina Faso, où il a représenté le Québec au Xe Sommet de la francophonie, à Ougadougou. Comme l’a si bien dit Michel Faubert : «Simon est notre bédéiste de la parole.» On le reconnaît facilement en compagnie de son inséparable partenaire, la scie musicale, dont il tire des notes improbables.
L’actrice excelle dans le touchant personnage de Maria Teresa (qu’elle a elle-même créé), une immigrante italienne aujourd’hui complètement isolée et qui s’offre, pour ses 70 ans, de se raconter aux gens. Un moment touchant que ce monologue dont la poésie réside dans l’accent chantant de Maria Teresa et ses tournures de phrases maladroites.
Le plus fort de ses contes, qui vaut à lui seul le déplacement, s’intitule Cocaline, un texte écrit spécialement pour elle par Yvan Bienvenue. Elle y aborde de façon drôle et grinçante la question de la sexualité des personnes âgées. Ici, Arbour est carrément éclatante
Ne boudez pas votre plaisir. Bravez l’hiver et venez savourer la verve de cette comédienne hors pair
Conteur de profession depuis plus de 25 ans, Eric participe, en 2009, au prestigieux « Concours international de menteurs » de Moncrabeau en France. Il remporte le titre et devient le 1er non-Européen à être sacré Roy des menteurs. Il ne s’arrête pas là et continu d’amasser des titres. Contes traditionnels, légendes et menteries se croisent à travers l’humour, le dramatique et le mystérieux…
Nadine foule les planches depuis plus de 30 ans. Interprète reconnue pour sa forte présence, chercheuse acharnée, elle use de son corps autant que de sa voix pour propulser ses créations et retransmettre des histoires archaïques, reflets de l’humanité depuis la nuit des temps. « Avec elle, le conte devient une parole incarnée. » Élisabeth Haas, journal La Liberté, Fribourg, Suisse. Récipiendaire du Grand prix de l’Académie Charles Cros à Paris pour son CD-livre Sacré chœur de Gilgamesh en 2020, Hibou d’or pour le même spectacle et le prix Jocelyn Bérubé pour l’ensemble de sa carrière de conteuse.
Crédit photo : Marie Andrée Lemire
Présenté dans le cadre du |
à l’occasion de |
Samedi le 27 février de minuit à 4h du matin
Au Cabaret du Roy :
363, de la commune Est, Vieux-Montréal (métro Champs-de-Mars) , 514-907-9000
[Pour vous rendre…]
Entrée libre
Attention ! Attention ! Les Hommes à scie vous invitent à bord de leur Super Manège Métallurgique. Contes hallucinés, scies électrifiantes, écran de fumée et stroboscope épileptique seront au rendez-vous
Imaginez la rencontre entre un conteur iconoclaste, Simon Gauthier, et un métallurgiste autodidacte, Marc St-Pierre, tous deux à même de faire chanter n’importe quel objet brut, de la simple plaque de tôle arrachée au toit d’une grange désaffectée à l’égoïne branchée au pylône verglacé, en passant par l’immense lame circulaire et dentelée d’une scie ronde industrielle échappée des Temps modernes de Chaplin. Ajoutez à cela Benoit Rolland, jeune prodige à l’oreille musicale absolue et manipulateur de son métallurgique à la console affolée. Sans oublier le narrateur atypique, Jean-Marc Massie, seul à savoir tirer d’un call d’orignal les notes déchirantes d’un John Coltrane à l’agonie sur le rythme d’une égoïne percussive de plus de six pieds de haut. Réunissez tous ces éléments et vous verrez surgir des entrailles de la ferraille les Hommes à scie.
À quelques reprises au cours du spectacle, le brocanteur de mots, Jean-Marc Massie, achète des mots clefs proposés par le public. À partir de ceux-ci, il clôt le spectacle par une improvisation narrative soutenue par l’ambiance sonore tout aussi improvisée des Hommes à scie.
Puis, en un éclair, surgit du métal hurlant un jam au fer-blanc venant clore la charge de l’orignal épormyable, seul à savoir ce qui se brasse au fin fond de la forêt boréale.
Ce qu’en ont dit les médias
« Ces artistes, véritables virtuoses de l’oralité, ont captivé une salle comble […] Pas un bruit, tout le monde était accroché aux histoires surprenantes des conteur »
Ouest-France, 30 novembre 2009
« Il faut le voir pour le croire. Une prestation unique ici, dans l’univers de Musique Plus»
Reg, L’Univers, Musique Plus, 3 septembre 2009
« J’ai adoré ça … on a eu tout un spectacle … le public était sous le charme … Jean-Marc Massie et Simon Gauthier sont intenses … ils enchaînent littéralement le public à leurs lèvres … le clou de la soirée, c’est lorsque Simon Gauthier raconte la toute dernière histoire … un petit bijoux de conte.»
Clémence Bourget, Bonjour la Côte , Première chaine, R-C, 17 août 2009
« C’est comme si on était dans un autre univers. On est presque dans un film … »
Anouk Meunier, Salut Bonjour, TVA, 5 août 2009
Directeur artistique et musicien-conteur : Simon Gauthier
Metteur en scène et musicien-conteur : Jean-Marc Massie
Directeur technique et bruit-colleur : Marc St-Pierre
Directeur musical et bruit-colleur : Benoit RollandRégisseure : Lumin-Art
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Le métallurgiste hurlant aux mains d’acier et au coeur d’or
Diplômé et enseignant en électromécanique, concepteur et réalisateur d’équipement hydropneumatique, soudeur émérite, métallurgiste de pointe, ébéniste décapant doué d’un sens musical stupéfiant, Marc St-Pierre est le concepteur de tous les instruments inusités des Hommes à scie : égoïne amplifiée, scie gong, réverbe à ressorts, crowbar mélodique, etc. Ayant déjà été magicien pour la roulotte à Buissonneault, au fil du temps, Marc St-Pierre est devenu l’un des bruit-colleurs les plus originaux du Québec. Artisan, avec Simon Gauthier, de la Sciemonmarc, une scie musicale brevetée au métal harmonique unique, Marc St-Pierre a modelé de toutes pièces le visage actuel des Hommes à scie. Une présence scénique indéniable et un aplomb inébranlable en font le maillon primordial des Hommes à scie. |
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Le gardien de la console affolée
Auteur-compositeur-interprète bachelier du Conservatoire de musique du Québec à Montréal en composition électroacoustique, Benoit Rolland évolue depuis 10 ans dans le monde de la musique actuelle et contemporaine . Il a collaboré avec plusieurs artistes, dont Alexis O’Hara, le Floating Band, Esther Bourdages, Jean-François Blouin, Joe La Mouk etc… Sous le nom de Gentil Panda, il a lancé un album au printemps 2008. Depuis 2005, il est le compositeur maison du Théâtre de l’Utopie ; il a notamment fait la musique de Ce fou de Platonov de Tchekov, au théâtre Prospero, à l’hiver 2005, et du Misanthrope de Molière, au bain Saint-Michel, à l’hiver 2006. Enfin, il a été l’un des membres fondateurs de Da Oust Fiends, un groupe de punk-noise surréaliste mêlant mime, performance, vidéo, et ayant laissé « sens dessus-dessous » entre autres la Sala Rossa et le Cabaret Juste pour rire. Musicien-robot culinaire aux divers mélanges sonores, Benoit Rolland donne le ton. Le son des Hommes à scie, c’est lui. |
Simon Gauthier est maître de l’égoïne. De La flûte enchantée à La valse aux adieux, en passant par l’hymne national américain version Hendrix, il joue de tout sur sa scie musicale. Un vrai juke-box boosté aux astéroïdes. Avec ses spectacles : Corne de brume, Simon Pète les plombs et Source(s), il habite la planète Conte depuis maintenant dix années et s’y porte très bien. Énergique, passionné, tantôt drôle, tantôt émouvant, il nous emmène dans des mondes oniriques et éclatés, vers lesquels on se laisse entraîner avec un indéniable plaisir. Natif de Sept-Îles, il a commencé sa carrière sur la Côte-Nord, en contant de village en village, à la manière des troubadours. Très apprécié en France, Simon y a fait plus de deux cents spectacles depuis 2005. Il s’est aussi produit en Suisse, en Belgique, en Tunisie, aux Pays-Bas et au Burkina Faso, où il a représenté le Québec au Xe Sommet de la francophonie, à Ougadougou. Comme l’a si bien dit Michel Faubert : «Simon est notre bédéiste de la parole.» On le reconnaît facilement en compagnie de son inséparable partenaire, la scie musicale, dont il tire des notes improbables.
Dans le cadre du
Comme à chaque année, les mois d’octobre est consacrés aux conteurs du monde avec la série « Contes autour du globe ». Pour l’occasion, nous accueillerons le conteur kabyle Kamel Guennoun, le conteur breton Achile Grimaud, le conteur québécois François lavallée, le conteur réunionnais Sergio Grondin, la conteuse belge Vanessa Lefebvre, le conteur Burkinabé Kientega Pingdéwindé Gérard alias KPG ainsi que le conteur Polonais Michal Malinowski. Dans ce voyage sur les routes du Maghreb, de l’Afrique et de l’Europe de l’Est en passant par le Plat Pays et le Québec sans oublier la Bretagne et la Réunion, vous serez envoûtés par des paroles tous azimuts.
Du jamais vu. Unique en son genre»
Reg, L’Univers, Musique Plus, 3 septembre 2009
« J’ai adoré ça … on a eu tout un spectacle … le public était sous le charme … Jean-Marc Massie et Simon Gauthier sont intenses … ils enchaînent littéralement le public à leurs lèvres … le clou de la soirée, c’est lorsque Simon Gauthier raconte la toute dernière histoire … un petit bijoux de conte.»
Clémence Bourget, Bonjour la Côte , Première chaine, R-C, 17 août 2009
« C’est comme si on était dans un autre univers. On est presque dans un film … »
Anouk Meunier, Salut Bonjour, TVA, 5 août 2009
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Imaginez la rencontre entre un conteur iconoclaste, Simon Gauthier, et un métallurgiste autodidacte, Marc St-Pierre, tous deux à même de faire chanter n’importe quel objet brut, de la simple plaque de tôle arrachée au toit d’une grange désaffectée à l’égoïne branchée au pylône verglacé, en passant par l’immense lame circulaire et dentelée d’une scie ronde industrielle échappée des Temps modernes de Chaplin. Ajoutez à cela Benoit Rolland, jeune prodige à la voix d’ange et manipulateur de son métallurgique à la console affolée. Sans oublier le narrateur atypique, Jean-Marc Massie, seul à savoir tirer d’un call d’orignal les notes déchirantes d’un John Coltrane à l’agonie sur le rythme d’une égoïne percussive de plus de six pieds de haut. Réunissez tous ces éléments et vous verrez surgir des entrailles de la ferraille les Hommes à scie.
Attention ! Attention ! Le cabaret des Hommes à scie est en branle. En équilibre instable sur la lame électrifiée, les Hommes à scie oscillent constamment entre conte, poésie et autres modes d’expression inusités. À l’instar des cabarets d’autrefois, vous aurez droit à une pléiade d’étonnants numéros donnés, entre autres, par le Hendrix de la scie amplifiée, le calleur d’orignal en rut à la résurrection imminente, sans oublier le chanteur à la voix chaude et cuivrée qui piaffe en Brel d’or. Attention ! Attention ! Le cirque Métallurgique est en tournée pour un millénaire seulement, avec quatre artistes déjantés au service d’une histoire surréaliste : la naissance d’Isidore Bezeau.
À quelques reprises au cours du spectacle, le brocanteur de mots, Jean-Marc Massie, achète des mots clefs proposés par le public. À partir de ceux-ci, il clôt le spectacle par une improvisation narrative soutenue par l’ambiance sonore tout aussi improvisée des Hommes à scie.
Puis, en un éclair, surgit du métal hurlant un jam au fer-blanc venant clore la charge de l’orignal épormyable, seul à savoir ce qui se brasse au fin fond de la forêt boréale.
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Le métallurgiste hurlant aux mains d’acier et au coeur d’or
Diplômé et enseignant en électromécanique, concepteur et réalisateur d’équipement hydropneumatique, soudeur émérite, métallurgiste de pointe, ébéniste décapant doué d’un sens musical stupéfiant, Marc St-Pierre est le concepteur de tous les instruments inusités des Hommes à scie : égoïne amplifiée, scie gong, réverbe à ressorts, crowbar mélodique, etc. Ayant déjà été magicien pour la roulotte à Buissonneault, au fil du temps, Marc St-Pierre est devenu l’un des bruit-colleurs les plus originaux du Québec. Artisan, avec Simon Gauthier, de la Sciemonmarc, une scie musicale brevetée au métal harmonique unique, Marc St-Pierre a modelé de toutes pièces le visage actuel des Hommes à scie. Une présence scénique indéniable et un aplomb inébranlable en font le maillon primordial des Hommes à scie. |
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Le gardien de la console affolée
Auteur-compositeur-interprète bachelier du Conservatoire de musique du Québec à Montréal en composition électroacoustique, Benoit Rolland évolue depuis 10 ans dans le monde de la musique actuelle et contemporaine . Il a collaboré avec plusieurs artistes, dont Alexis O’Hara, le Floating Band, Esther Bourdages, Jean-François Blouin, Joe La Mouk etc… Sous le nom de Gentil Panda, il a lancé un album au printemps 2008. Depuis 2005, il est le compositeur maison du Théâtre de l’Utopie ; il a notamment fait la musique de Ce fou de Platonov de Tchekov, au théâtre Prospero, à l’hiver 2005, et du Misanthrope de Molière, au bain Saint-Michel, à l’hiver 2006. Enfin, il a été l’un des membres fondateurs de Da Oust Fiends, un groupe de punk-noise surréaliste mêlant mime, performance, vidéo, et ayant laissé « sens dessus-dessous » entre autres la Sala Rossa et le Cabaret Juste pour rire. Musicien-robot culinaire aux divers mélanges sonores, Benoit Rolland donne le ton. Le son des Hommes à scie, c’est lui. |